Le Premier ministre portugais Pedro Passos Coelho a écarté vendredi le scénario d'une intervention publique pour venir en aide à la banque BES, exposée aux graves difficultés financières du reste du groupe Espirito Santo.
"Il n'y a aucune raison pour que l'Etat intervienne dans une banque qui a des fonds propres solides et qui dispose d'une marge confortable pour faire face à toute éventualité, même la plus adverse", a déclaré devant la presse le chef du gouvernement de centre droit.
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