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Affaire Wallin : les libéraux reviennent à la charge

Affaire Wallin : les libéraux reviennent à la charge

La sénatrice conservatrice Pamela Wallin, épinglée sur des dépenses injustifiées, a commis « des erreurs de jugement gaves », a affirmé mercredi James Cowan, leader de l'opposition au Sénat en compagnie de Stéphane Dion, porte-parole du Parti libéral du Canada (PLC) en matière de réforme démocratique.

Les deux libéraux en ont profité pour rappeler que la sénatrice avait été défendue par le premier ministre Stephen Harper à la Chambre des Communes. Pour Stéphane Dion, le parti conservateur est un groupe où se cultivent « le secret et la manipulation ».

M. Dion cible directement Stephen Harper. « On a un premier ministre tellement secret, qui envoie un message que si vous n'êtes pas pris, ça va ». C'est pourquoi, dit-il, « nous avons tant de problèmes, non seulement au Sénat, mais à la Chambre des Communes également ».

La Gendarmerie royale du Canada (GRC) doit se pencher sur les allocations de dépenses présentées par Pamela Wallin, a conclu le Comité permanent de la régie interne, des budgets et de l'administration du Sénat après avoir examiné le rapport de l'audit réalisé par la firme Deloitte.

Mardi, le Nouveau Parti démocratique (NPD) et le Parti libéral du Canada (PLC) se disaient satisfaits que le rapport de l'audit soit transmis à la GRC.

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