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« Je ne tiens pas mordicus à venir au Canada » - Ecclestone

« Je ne tiens pas mordicus à venir au Canada » - Ecclestone

Bernie Ecclestone n'a rien perdu de ses tactiques de négociation.

Le grand manitou de la F1 s'est montré un tantinet désintéressé à propos de l'avenir du Grand Prix du Canada.

« Je ne tiens pas mordicus à venir au Canada, mais ce serait bien qu'on continue », a laissé tomber l'homme d'affaires de 82 ans.

Questionné quant au délai qu'il comptait laisser au promoteur François Dumontier pour remplir les conditions nécessaires à la reconduction de l'entente, Ecclestone est demeuré évasif. « On verra. »

La F1 a déjà dit qu'elle ne remettrait pas le pied à Montréal après l'actuelle entente qui vient à échéance en 2014 à moins que le promoteur ne lui garantisse quelque 15 millions de dollars annuellement.

Les trois paliers de gouvernements sont sollicités pour ce financement. C'est au niveau fédéral que les négociations achoppent pour le moment.

Ecclestone exige également une mise à niveau des installations du circuit Gilles-Villeneuve.

Avec la collaboration de Philippe Crépeau

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