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Mort d'Audrey-Anne Dumont dans le métro : la thèse de l'accident étudiée

Mort d'Audrey-Anne Dumont dans le métro : la thèse de l'accident étudiée

Le bureau de la coroner coroner Catherine Rudel-Tessier étudie la thèse de l'accident dans son enquête pour expliquer la mort d'une jeune femme de 20 ans sur les rails du métro de Montréal le 19 avril dernier.

Audrey-Anne Dumont, qui venait d'avoir 20 ans, serait tombée sur les rails du métro à la station Monk en croyant entrer dans un wagon du métro. Visiblement distraite par son téléphone intelligent, la jeune femme se trouvait plutôt vis-à-vis l'espace séparant deux wagons de métro. Elle serait ainsi tombée accidentellement dans le tunnel.

Sa chute semble être passée inaperçue puisque ce n'est que deux stations plus loin, à la station Verdun, qu'un usager du métro a signalé la présence de sang sur les rails.

La police aurait tout d'abord favorisé la thèse du suicide, mais elle s'est ravisée après avoir visionné les bandes vidéo des caméras de surveillance. La thèse de l'acte criminel semble également être écartée.

La Société de transport de Montréal (STM) a transmis ses sympathies à la famille d'Audrey-Anne Dumont et collabore à l'enquête du coroner. Le président de la STM, Michel Labrecque, a indiqué qu'il s'agissait d'un accident extrêmement rare.

La famille de Mme Dumont aimerait que l'on revoie les mesures de sécurité de ces espaces qui séparent les wagons du métro et que le moyen d'alerter les conducteurs des trains soit également revu.

La famille a indiqué qu'elle entend se concentrer sur les funérailles de la jeune femme, funérailles qui auront lieu à Saint-Jean-sur-Richelieu.

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