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La Turquie cherche des sous

La Turquie cherche des sous

Le promoteur du circuit d'Istanbul dit avoir obtenu un accord de principe pour qu'il y ait un Grand Prix de Turquie en 2013, mais le gouvernement turc ne veut pas payer sa part.

L'homme d'affaires Vural Ak, nouveau gérant du circuit, s'est entendu avec le grand patron de la F1 Bernie Ecclestone, a fait savoir l'agence de presse Anadolu. La décision finale repose toutefois dans les mains du gouvernement turc, a précisé Vural Ak.

Et le gouvernement turc a dit non. Il n'a pas l'intention de financer le retour de la F1 en Turquie, a dit jeudi le ministre des Sports, Suat Kilic. Une somme estimée à 13,5 millions de dollars, selon Vural Ak.

« S'il le souhaite, le secteur privé peut faire venir la F1, a dit Suat Kilic, cité par l'agence de presse Dogan. Mais il est hors de question que nous payions des droits tels que proposés à une société du secteur privé pour faire venir la F1. »

Les médias turcs ont avancé qu'Istanbul pourrait être la course européenne qui sera disputée le 21 juillet, comme on peut le lire sur le calendrier entériné par la FIA.

En 2011, la dernière course à Istanbul n'a suscité qu'un intérêt limité sur place.

La FIA cherche à combler un vide dans son calendrier 2013 afin d'organiser un championnat du monde de 20 épreuves, comme en 2012.

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