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Ambition des Trois Accords : se retrouver sur l'iPod de Dieu

Ambition des Trois Accords : se retrouver sur l'iPod de Dieu

Si John Lennon disait dans les années 1960 que les Beatles étaient « plus populaires que Jésus », Les Trois Accords, les fab four de la chanson absurde au Québec, affirment ne souhaiter rien de moins en 2012 que de se « retrouver sur l'iPod de Dieu ».

Ce n'est probablement pas la dernière boutade du genre que l'on entendra de la part du quatuor de Drummondville, qui lance mardi son quatrième album, J'aime ta grand-mère.

Dans la composition des pièces de ce disque, le parolier Simon Proulx affirmait lundi en entrevue avoir voulu exprimer tout ce que les membres avaient en tête, et ne pas se limiter.

La formation croit être rendue à une étape de sa carrière où elle devra aller « se ressourcer en Inde et se trouver une nouvelle religion ».

Il y a huit ans, la pièce Hawaïenne et d'autres succès de rock absurde comme Saskatchewan sur le premier album, Gros mammouth album turbo, propulsaient les quatre comparses à l'avant-scène.

Charles Dubreuil confie n'avoir jamais songé à un tel succès, expliquant surtout que lors de l'enregistrement du premier album, les membres n'entrevoyaient pas comme une possibilité de jouer à la radio.

Regardez l'entrevue des Trois Accords de dimanche à Tout le monde en parle.

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