MEDIAS - Connu pour ses soirées bling-bling, ses poses avec des armes à feu ou son admiration pour l'armée américaine, Louis Sarkozy dévoile une nouvelle facette.
Le fils cadet de Nicolas Sarkozy, qui se fait appeler "Sarko Junior" sur les réseaux sociaux, signe désormais des chroniques sur le site du Washington Examiner, un hebdo américain conservateur, comme l'a repéré Libération ce vendredi 24 novembre. Et il affiche des positions très marquées à droite.
Sa dernière chronique s'en prend ainsi aux journalistes américains, dénonçant une "bulle de filtre gauchiste" faisant des médias de "véritables machines de propagande". Il regrette notamment le manque de journalistes pro-Trump au New York Times ou le faible nombre de soutiens du président américain invités sur CNN.
"Les contenus de droite sont davantage scrutés et susceptibles d'être attaqués, voire censurés", assure aussi Louis Sarkozy en évoquant les géants YouTube, Facebook et Twitter, coupables selon lui de "censure" en voulant contrôler les propos condamnables circulant en ligne.
En exemple, Louis Sarkozy prend la défense de Milo Yiannopoulos, polémiste britannique banni de Twitter pour harcèlement et ancien contributeur de Breitbart News, le site ultraconservateur de Steve Bannon, l'ex-conseiller de Donald Trump. Milo Yiannopoulos a été "réduit au silence par Twitter en réaction à un supposé 'discours de haine'", assure ainsi Louis Sarkozy.
Sa mère, Cécilia Attias, a semblé apprécier la dernière production de son fils puisqu'elle l'a relayée sur son compte Twitter.
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