« Le fait que nous n'ayons même pas accepté les réfugiés syriens que nous nous sommes engagés à accueillir et avons laissé pour compte davantage de personnes qui fuient les situations les plus désespérées [...] est à mes yeux une honte », a déploré le maire Naheed Nenshi.
Décrivant le Canada comme un « pays de générosité », il estime qu'il faut saisir l'occasion de « mettre de côté les différences politiques » et d'« aider les personnes à retomber sur leurs pieds et à vivre de belles vies ».
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