Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

C1 - 8e de finale aller: Dortmund, facile face au Zenith, prend une option sur les quarts

C1 - 8e de finale aller: Dortmund, facile face au Zenith, prend une option sur les quarts

Dortmund, finaliste de la dernière C1, a largement battu (4-2) le Zenith Saint-Pétersbourg à l'extérieur, en 8e de finale aller de la Ligue des champions, mardi.

Avec ce score, les Jaune et Noir, qui ont fait preuve de virtuosité en attaque mais de largesses en défense, ont déjà un pied en quarts de finale.

On disait les Allemands fragilisés par leur défaite samedi en championnat contre le relégable Hambourg (3-0) et amoindris par leurs nombreuses blessures (Bender, Subotic, Blaszczykowski, Gündogan): force est de constater que ces insuffisances sont cependant relatives.

Les hommes de Klopp, ultra-dominateurs en première période, ont cependant une nouvelle fois donné dans leur péché mignon dans le second acte: des bévues défensives étonnantes, heureusement compensées par une facilité déconcertante du trio d'attaque.

Mkhitaryan (4), Reus (5) et Lewandowski, auteur d'un doublé (61, 71) ont en effet donné le tournis à des Russes très souvent pris de vitesse.

Après seulement cinq minutes, les filets de Lodigin avaient en effet déjà tremblé par deux fois.

Sur un bon décalage en talonnade de Sahin, Reus s'infiltrait dans la surface et était bien secondé par Mkhitaryan, qui ouvrait le score du droit (4).

Puis, sur une bonne remise de Grosskreutz, finalement préféré à l'ancien Stéphanois Aubameyang, Reus doublait la mise d'une reprise en première intention du gauche (5).

Et l'addition pour les hommes de Spalletti aurait pu être bien plus lourde: Lewandowski de la tête (29) puis Reus, décidément intenable, étaient tout près de corser l'addition (30).

Mais dans cette noyade collective, le Zenith se voyait remis en selle par les négligences de Dortmund.

Après une perte de balle naïve au milieu, Rondon trouvait le poteau avant que Shatov ne finisse le travail (2-1). Et alors que Lewandowski avait calmé les ardeurs naissantes des locaux en refaisant le break, une nouvelle bévue mettait les Allemands dans l'embarras.

Sur une percussion de Faizulin, l'arbitre sifflait en effet un penalty très contestable, transformé en force par Hulk (69).

Ce début de rébellion était toutefois tué dans l'oeuf par Lewandowski qui une nouvelle fois concluait du droit un beau mouvement d'attaque des visiteurs (71).

cle/dhe

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.