Les Jeux de Sotchi seront les plus dispendieux de l'histoire - la note atteint déjà 51 milliards de dollars - mais ce n'est pas le salaire des travailleurs étrangers qui aura fait gonfler la facture finale.
Plusieurs ouvriers, souvent originaires d'anciennes républiques soviétiques, travaillent dans des conditions qui se rapprochent de l'esclavage. Profitant de leur situation de sans-papiers, des employeurs refusent de leur verser leur salaire après les avoir fait travailler pendant des mois.
Le compte à rebours se poursuit. Il ne reste plus que 100 jours avant les cérémonies d'ouverture, mais pour bien des ouvriers du chantier, le plus gros d'Europe en ce moment, il n'y a pas de quoi célébrer.
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