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Ultimatum de la FECQ à la CLASSE

La FECQ souhaite rencontrer le gouvernement à tout prix... même sans la CLASSE!
Radio-Canada.ca

La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) lance un ultimatum à la Coalition large de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE).

La FECQ se dit prête à entamer des discussions avec Québec sans la CLASSE si elle s'obstine à ne pas condamner les actes de violence commis lors de manifestations étudiantes.

La FECQ a adopté aujourd'hui en assemblée en Montérégie une résolution allant en ce sens, alors même que la CLASSE, réunie en congrès à Montréal, doit se prononcer sur cette question.

« La résolution exige la participation de la CLASSE, mais à condition qu'elle condamne la violence. », dit Léo Bureau-Blouin.

« On pense qu'il est important que tous soient unis, mais si une association décide elle-même de s'exclure du processus de discussion en ne condamnant pas les actes de violence, nos associations nous ont demandé d'entamer un premier processus de discussion pour voir ce que la ministre de l'Éducation avait à offrir et de quelle façon on peut dénouer l'impasse » explique le président de la FECQ.

Il croit que la FEUQ prendra aussi position une fois que la CLASSE aura fait son choix.

Par ailleurs, Éliane Laberge succédera à Léo Bureau-Blouin à la tête de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) à partir du 1er juin. Ce dernier a déjà complété deux mandats, ce qui constitue la limite réglementaire imposée par la FECQ.

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