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Ce thriller conventionnel, mais fort efficace réussi à garder en haleine malgré un scénario qui défie parfois toute logique. La réalisation habile de Brad Anderson (,) mise surtout sur un suspense qui utilise à bon escient l'espace et le climat de claustrophobie de l'ensemble.
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Une réceptionniste du 911(Halle Berry, affectée) demeure en contact téléphonique avec une jeune fille (Abigail Breslin, convaincante) kidnappée et enfermée dans le coffre d'auto d'un ravisseur psychopathe (Michael Eklund, menaçant).

Ce thriller conventionnel, mais fort efficace réussi à garder en haleine malgré un scénario qui défie parfois toute logique. La réalisation habile de Brad Anderson (Session 9, The Machinist) mise surtout sur un suspense qui utilise à bon escient l'espace et le climat de claustrophobie de l'ensemble.

Par sa construction dramatique et narrative, son traitement du suspense et sa manière de brouiller les pistes, le film rappelle beaucoup le célèbre Silence of the Lambs. Mais attention, The Call est bien loin d'atteindre le degré de perfection et d'intelligence du chef-d'oeuvre de Jonathan Demme. On reste ici au niveau du premier degré.

Reste que malgré les lacunes du scénario, on se laisse prendre au jeu en arrivant à faire abstraction des nombreux rebondissements illogiques de la seconde moitié du métrage. Bien que je me serais passé d'un épilogue qui frise carrément le ridicule, le film tient le pari de tenir en haleine jusqu'à la fin.

Cote: *** sur 5

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