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diagnostic
L’autisme n’est pas qu’une divergence réservée au profil masculin. L’autisme au féminin est bien réel.
Est-ce le diagnostic qui fixe sa manière d'être ou sa manière d'agir? Ou plutôt, la société, l'environnement ou l'opinion subjective?
Je reste persuadée que le début de la prise en charge est étroitement lié à la façon dont le patient présente les choses et à leur perception par le soignant.
Est-ce possible de repartir à zéro et de considérer les personnes autistes comme des êtres humains, sans défaillance neurologique pour la sociabilité et de les inclure à cette société ?
Quand on nie l'autisme de Juliette, c'est comme si on se bouchait les oreilles quand elle parle. On la juge capricieuse, on l'appelle dans son dos « la petite princesse », juste parce qu'on ne daigne pas reconnaître qui elle est en dehors des standards habituels.
Mon corps n'en peut plus, tellement il est épuisé, ma tête, elle, n'a toujours pas compris que la carrosserie ne suit plus.
Les gouvernants libéraux ne veulent pas admettre que l'islamisme est une tumeur et que leur diagnostic est erroné. Ils expliquent qu'elle est bénigne et qu'il n'est pas nécessaire de la racler.
J'aimerais aborder entre autres, un terme qui est couramment utilisé lorsqu'on parle de l'intelligence de certaines personnes autistes: la déficience intellectuelle. Ce terme est péjoratif et selon moi, biaisé.
Pour atteindre l'objectif d'offrir un service de soins de santé qui se respecte et surtout qui respecte le patient, il faut encore diminuer les coûts tout en multipliant les changements.
Je me souviens de cette petite fille timide. Ce mélange bruyant n'avait rien d'une douce mélodie et elle était parfois confuse devant le regard insistant des gens.