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Notre Home: joies et périls du bilinguisme

Jeudi soir à Westmount, j'ai eu trois questions -- plutôt, trois fois la même -- sur le bilinguisme, de la part d'Anglo-Québécois. Vendredi, sur les radio, j'ai eu plusieurs questions de francophones -- plusieurs fois la même -- sur le même sujet. J'ai donc traversé le miroir linguistique.
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NotreHome/YouTube

Jeudi soir à Westmount, j'ai eu trois questions -- plutôt, trois fois la même -- sur le bilinguisme, de la part d'Anglo-Québécois. Vendredi, sur les radio, j'ai eu plusieurs questions de francophones -- plusieurs fois la même -- sur le même sujet. J'ai donc traversé le miroir linguistique.

Ces questions sont intéressantes et il vaut la peine de s'y attarder.

Radio X, plus tatillons que l'OQLF

Mes interlocuteurs francophones étaient surpris du caractère bilingue, et principalement anglophone, de la chanson « Notre Home », qui part en tournée dans les écoles anglo-québécoise grâce à une petite subvention gouvernementale.

« Comment, se sont insurgés certains, le PQ finance une chanson bilingue ? C'est du Justin Trudeau! » La langue commune au Québec n'est-elle pas le français ?

En effet, lorsque les Québécois de divers horizons linguistiques parlent ou travaillent ensemble, la langue commune est le français. C'est entendu.

Mais lorsque les Anglo-Québécois parlent entre eux ?

Lire la suite sur le blogue de Jean-François Lisée.

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