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Ruelles vertes et blanches: une raison de vivre en ville

Les amants de la vie familiale urbaine ont avalé leur café de travers, ce lundi matin, en découvrant dans La Presse que des mini-patinoires aménagées sur des ruelles de Villeray, à Montréal, avaient été détruites sans préavis.L'aménagement des ruelles, vertes en été, blanches en hiver, est un formidable atout pour les familles urbaines.
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Elsie Lefebvre

Les amants de la vie familiale urbaine ont avalé leur café de travers, ce lundi matin, en découvrant dans La Presse que des mini-patinoires aménagées sur des ruelles de Villeray, à Montréal, avaient été détruites sans préavis.

«Ça fait six ans qu'on fait une patinoire derrière la maison, nos trois garçons passent des heures chaque semaine à jouer au hockey dehors avec plusieurs petits voisins, a raconté au journal Mélanie Cyr, l'une des citoyennes concernées. Jamais personne ne s'est plaint, alors quand j'ai vu les cols bleus répandre du gravier sur notre glace, je n'en revenais pas.»

L'aménagement des ruelles, vertes en été, blanches en hiver, est un formidable atout pour les familles urbaines. Dans ma circonscription de Rosemont, la chose est valorisée, en s'assurant toutefois de l'accord du voisinage -- ce qui semble avoir fait défaut dans Villeray.

Des patinoires sont aménagées par des résidents volontaires, et parfois des glissades, comme on le voit sur cette photo du site RueMasson.com.

Lisez la suite de ce billet sur le blogue de Jean-François Lisée.

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