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Le Québec numéro 1 au Canada pour les prêts automobile

Le Québec numéro 1 au Canada pour les prêts automobile
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Selon un récent sondage effectué par la publication Canadian Black Book, 36 % des propriétaires de véhicules au Québec ont un prêt automobile, soit le plus grand pourcentage de toutes les provinces canadiennes. L'Ontario a le plus faible pourcentage alors qu'un acheteur sur quatre a un prêt lié à sa voiture.

Voilà une donnée parmi plusieurs recueillie par le sondage de la publication spécialisée dans l'évaluation de véhicules usagés. Les résultats indiquent aussi que seulement la moitié des répondants avec un prêt automobile savent ce qu'est l'équité négative, soit la situation qui se produit lorsque le montant nécessaire pour acquitter notre prêt dépasse la valeur de notre véhicule.

Au moment d'évaluer les coûts de possession, seulement 2 % des répondants savaient que la dépréciation représente la dépense la plus élevée lorsque nous sommes propriétaires d'un véhicule.

La valeur d'échange était également un sujet moins maitrisé par les répondants du sondage Canadian Black Book alors que moins d'un consommateur sur quatre affirme connaitre la valeur de son véhicule au moment de le remettre en échange chez un concessionnaire. Cela peut expliquer pourquoi 33 % des nouveaux propriétaires seulement croient avoir obtenu une valeur d'échange inférieure à la valeur de leur véhicule.

Un autre élément intéressant du sondage concerne l'importance du prix du carburant sur les décisions d'achat des consommateurs. En effet, Canadian Black Book a voulu savoir quel impact aurait une augmentation de 25 cents du prix du litre d'essence sur le futur véhicule acheté par les répondants.

Près de la moitié de ceux-ci ont indiqué qu'ils considèreraient un véhicule hybride, électrique, hybride enfichable et même à l'hydrogène dans l'éventualité d'une telle hausse du prix du carburant. Un peu plus d'un tiers songerait à acheter un véhicule moins gourmand, mais toujours propulsé par un moteur traditionnel alors que seulement 10 % se tourneraient vers un moteur au diesel.

Au Québec, 31 % des répondants ont affirmé qu'une augmentation de 25 cents ferait en sorte qu'il se tournerait vers un véhicule plus économique tandis que l'intérêt envers les moteurs au diesel est plus faible qu'ailleurs au Canada avec 6 % des Québécois prêts à considérer cette motorisation.

Finalement, 25 % des répondants se disent en mesure de réduire leur nombre de véhicules dans leur ménage et d'utiliser plus fréquemment des services d'autopartage.

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