Luis Miranda s'adresse au tribunal pour faire cesser les accusations de viol lancées à son égard. Il poursuit son accusatrice, Sandra Boursiquot, pour 75 000$ après plusieurs sorties publiques de cette dernière.
Mme Boursiquot s'est fait remarquer à plusieurs reprises lors de séances publiques du conseil municipal de Montréal et du conseil d'arrondissement d'Anjou. Elle a même été expulsée par la police à la demande de M. Miranda pendant une manifestation silencieuse.
Les documents de la poursuite n'étaient pas disponibles au palais de juste de Montréal au passage du HuffPost Québec. Le plumitif indique toutefois que M. Miranda réclame 75 000$.
M. Miranda réfute les allégations lancées contre lui depuis le début de l'affaire.
En décembre, le maire d'arrondissement a indiqué à La Presse que Mme Boursiquot et lui avaient été en relation il y a plusieurs années.
Depuis l'éclatement de l'affaire, des allégations d'une autre nature ont fait surface. Des organismes communautaires accusent M. Miranda de les intimider lorsqu'ils ne partagent pas leurs opinions, allant même jusqu'à menacer de retirer leurs subventions. Le directeur général de Concertation Anjou a même quitté ses fonctions à la suite de pressions.