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Mère attaquée par un pitbull: l'administration Plante doit assumer ses choix, dit Lionel Perez

Le chef de l'opposition croit que le règlement de l'équipe Coderre aurait pu empêcher le drame survenu la semaine dernière.
Getty Images

Le chef de l'opposition de Montréal, Lionel Perez, croit que le règlement sur les pitbulls promu par l'administration Coderre et tassé par Projet Montréal aurait permis d'éviter qu'une mère de famille soit violemment mordue la semaine dernière.

En point de presse à l'hôtel de ville, M. Perez a expliqué que la position d'Ensemble Montréal n'avait pas changé. L'administration Coderre avait adopté un règlement qui interdisait l'adoption de nouveaux pitbulls à Montréal. Pour les chiens existants, les propriétaires devaient leur faire porter une muselière. «L'administration a éliminé les clauses et ça a créé un vide et un risque. Elle dit qu'elle va revenir avec un autre règlement. Je doute qu'elle revienne avec des exigences et des critères aussi clairs que les nôtres», a-t-il critiqué.

Il a ensuite envoyé une pointe à ses adversaires à l'hôtel de ville. «On voit les conséquences de ces décisions et ils doivent assumer leur décision sur cet enjeu-là», a-t-il déclaré, référant à la femme de l'arrondissement Ahuntsic-Cartierville mordue dans son jardin.

L'opposition souhaite que le gouvernement du Québec adopte son projet de loi 128 qui vise à bannir les pitbulls. «On espère que le gouvernement du Québec va aller de l'avant avec le projet de loi tel qu'il a été présenté et que nous avons appuyé en commission parlementaire», a-t-il conclu.

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