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David Whittom: Denis Léger de la Commission des sports de combat défend l'arbitre

David Whittom: Denis Léger de la Commission des sports de combat défend l'arbitre

L'arbitre qui était à l'oeuvre lors du combat de David Whittom n'a pas commis d'erreur en n'arrêtant pas le combat plus tôt, estime Denis Léger, président de la Commission des sports de combat du Nouveau-Brunswick.

Denis Léger était présent lors du combat opposant le boxeur originaire de St-Quentin à Gary Kopas, samedi dernier à Fredericton. Selon lui, le dernier coup de poing est arrivé au moment où l'arbitre signalait l'arrêt.

« Je ne critique pas l’arbitre, rétorque Denis Léger. Tout est arrivé dans la même seconde, le combat a été arrêté après le premier coup. Lors du deuxième, l’arbitre était déjà en position d’arrêter le combat ».

Pour lui, l'événement s'est déroulé trop vite pour que l'arbitre ait eu le temps de réagir. « C’est un gros risque qui vient avec le sport comme tel ».

David Whittom a été plongé dans un coma artificiel, suite à une hémorragie cérébrale.

Le président de la Commission des sports de combat du Nouveau-Brunswick affirme en outre que les deux boxeurs combattaient à forces égales puisqu'ils étaient de calibre équivalent. « Son adversaire avait le même âge que lui. Tous deux sont nés en 1979. C’est un combat bien jumelé et compétitif pour le public ».

Selon Serge Léger, le Nouveau-Brunswick a les mêmes standards qu'ailleurs au Canada quand vient le temps d'empêcher un boxeur de combattre.

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