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Bon cop, bad cop 2 et l’insécurité linguistique

Bon cop, bad cop 2 et l’insécurité linguistique

« On va faire des fautes [de français], il faut pas stresser », affirme l'acteur Colm Feore, qui passe de l'anglais au français dans le nouveau film Bon cop, bad cop 2, qui prend l'affiche un peu partout au pays, vendredi.

En tournée promotionnelle à Toronto, Feore raconte en riant qu’il a déjà qualifié en entrevue la musique du film « d’épouvantable », une mauvaise traduction du terme « terrific ».

De son côté, l’auteur du scénario et autre vedette du film, Patrick Huard, s’étonne du fait que le concept de dualité linguistique entre les deux détectives - un Ontarien et un Québécois - au cœur du premier Bon cop, bad cop, n’a pas été repris durant les dix années qui ont séparé les deux longs métrages.

L’ultime serait d’avoir les trois nations qui ont créé le pays – des francophones, des anglophones et des Premières Nations ensemble dans un même projet.

Patrick Huard et Colm Feore sont prêts à en faire un troisième film.

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