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Ariane Moffatt annonce le sexe de son bébé à «Tout le monde en parle»

Ariane Moffatt annonce le sexe de son bébé à «Tout le monde en parle»

«Les mamans sont en désavantage numérique». C’est ainsi qu’Ariane Moffatt a répondu lorsque Guy A.Lepage lui a demandé si l’enfant qu’elle porte présentement est un garçon ou une fille, à Tout le monde en parle, dimanche.

Celle dont la conjointe, Florence Marcil-Denault, donnait naissance aux jumeaux Paul et Henri en juillet 2013, est donc enceinte d’un autre petit bonhomme. Le poupon devrait voir le jour, comme ses deux grands frères, quelque part pendant la saison chaude, a laissé entendre Ariane Moffatt.

Rappelons que l’auteure-compositrice-interprète a annoncé que sa famille s’agrandira sous peu le 1 mars dernier, alors qu’elle était en concert avec l’Orchestre symphonique de Montréal. Ariane Moffatt avait soigneusement choisi son moment pour faire sa grande révélation, laquelle, à l’entendre parler, a été fort émouvante.

«J’avais imaginé que c’est là que j’avais envie, dans la Maison symphonique, dans cet espace de la beauté qui sublime tout, du plus grand que tout, de faire l’annonce [de sa grossesse], a-t-elle expliqué, émerveillée, à Tout le monde en parle. J’avais l’orchestre, j’avais la robe, et l’annonce, et c’a donné deux soirées magiques.»

Ariane Moffatt concilie apparemment très bien le travail et la famille – son studio d’enregistrement est d’ailleurs situé au troisième étage de l’édifice qui abrite le CPE de ses fils -, mais ne cache pas que la maternité lui donne envie de diversifier ses projets. Elle signe ainsi la musique de la deuxième saison des Simone, à Radio-Canada, et lance ces jours-ci l’album Le petit spectacle, capté lors d’une prestation unique au Théâtre La Chapelle, l’automne dernier. Ce qui ne l’empêche toutefois pas de monter sur scène quand même : elle sera du collectif Bonne fête Montréal, au Centre Bell, le 17 mai prochain, et elle se produira avec l’Orchestre symphonique du Centre national des arts d’Ottawa le 14 juillet, entre autres engagements.

«Elle me fait pas honte!»

Le début de l’édition de ce 9 avril de Tout le monde en parle a été consacré à la promotion du film C’est le cœur qui meurt en dernier, d’Alexis Durand-Brault, scénarisé par Gabriel Sabourin, d’après le roman de Robert Lalonde. Le long-métrage prendra l’affiche dans nos salles obscures le vendredi 14 avril.

Cette histoire de secrets enfouis et de non-dits entre une mère et son fils est portée par un trio d’acteurs formé de la mère et la fille, Denise Filiatrault et Sophie Lorain, et Gabriel Sabourin. Les deux femmes y incarnent le même personnage à deux époques différentes de son existence. Gabriel Sabourin s’est dit touché d’avoir eu Denise Filiatrault et Sophie Lorain comme «mamans» le temps d’un tournage. «J’ai pogné le jackpot!», s’est-il exclamé avec enthousiasme. Denise Filiatrault a pour sa part confié qu’elle avait mis une croix sur le jeu d’actrice, terrorisée entre autres par la crainte de blancs de mémoire, et davantage séduite par la mise en scène, mais elle avait éprouvé un coup de cœur pour les écrits de Robert Lalonde et s’était dit qu’elle aimerait endosser le rôle de la mère, avant même que Durand-Brault et Sabourin ne lui proposent le mandat.

C’est le cœur qui meurt en dernier n’est pas que récit de famille à l’écran, il l’est également derrière la caméra. Le réalisateur Alexis Durand-Brault est l’amoureux de Sophie Lorain, et a dirigé sur son plateau sa douce et sa belle-mère («Quel être courageux», a blagué Guy A.Lepage, dimanche), tandis que la conjointe de Gabriel Sabourin, Geneviève Rioux, incarne la sœur de celui-ci dans le film, et son «vrai» frère, Jérôme Sabourin, faisait également partie de la production à titre de directeur photo. Qui plus est, Alexis Durand-Brault est le maître d’œuvre (et d’image) d’Au secours de Béatrice, téléroman dans lequel Sophie Lorain et Gabriel Sabourin personnifient un couple, et où Robert Lalonde, auteur de C’est le cœur qui meurt en dernier, joue le père de Béatrice, alias Sophie Lorain. Mélangés?

Comme il est rare que Denise Filiatrault et Sophie Lorain se retrouvent côte-à-côte dans leurs activités médiatiques, Guy A.Lepage a profité de l’occasion pour demander à la première si elle est fière de sa fille. Denise Filiatrault a répliqué avec l’aplomb qu’on lui connaît.

«Très. Très, oui. Très. C’est normal, parce qu’elle travaille bien. Et elle me fait pas honte!»

Sophie Lorain a alors retourné l’hommage à sa mère.

«On est chanceuses, ma sœur [Danièle Lorain, NDLR] et moi. Moi non plus, j’ai pas honte de ma mère, je l’adore. C’est ma maman», a spontanément lancé la comédienne en prenant la main de celle dont elle faisait l’éloge.

Kavanagh rentre à la maison

Aussi, dimanche, Tout le monde en parle a donné la parole à Kim Thuy, Brigitte Harrisson et Lise St-Charles, qui ont démystifié le trouble du spectre de l’autisme avec beaucoup de clarté et de précision, et à Dominique Anglade et Pierre-Yves McSween, qui ont décortiqué l’affaire de la rémunération des patrons de Bombardier. Ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation, Dominique Anglade a reconnu que, dans le contexte actuel, les hausses de salaires chez Bombardier «ne peuvent pas être justifiées». Les professeurs François Audet et Sami Aoun ont quant à eux analysé les frappes américaines de la semaine dernière envers la Syrie.

Enfin, Anthony Kavanagh a expliqué que, même si son nom se trouve actuellement dans le top 10 des humoristes les plus populaires des 10 dernières années en France, il s’apprête à revenir vivre au Québec avec sa femme et ses enfants car, dit-il, à un moment donné, «il faut rentrer à la maison». Il présentera bientôt son spectacle Showman sur les planches de la Belle Province.

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