La Garde côtière canadienne assure avoir fait ce qu'il fallait et en temps requis, bien que l'on retrouve maintenant des traces du déversement d'hydrocarbures survenu il y a quelques jours au port de Vancouver sur les plages du nord de la ville.
Un porte-parole d'Environnement Canada a confirmé mardi que les vents et les courants avaient poussé les hydrocarbures vers les plages à l'ouest de Vancouver. La Garde côtière affirme du même souffle que le déversement de combustible est maîtrisé à 90 pour cent.
Le déversement proviendrait d'une fuite de combustible d'un transporteur de céréales qui a éprouvé des problèmes mécaniques, selon les enquêteurs de Transport Canada.
Jody Thomas, commissaire de la Garde côtière, a dit ne pas s'attendre à ce que les quelque 2700 litres de combustible s'étendent davantage. Elle a admis qu'il faudrait cependant des semaines avant d'obtenir un portrait plus précis de la situation. Les différentes organisations qui s'occupent du dossier ont encore passablement de pain sur la planche, a-t-elle avoué.
Mme Thomas croit cependant que la Garde côtière canadienne dispose de ressources suffisantes pour mener à bien son travail.
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