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Une centaine de policiers réunis à Nicolet pour parler de cybercriminalité et de radicalisation

Des policiers réunis pour parler de cybercriminalité et de radicalisation
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Si votre téléviseur fonctionne par reconnaissance vocale, que vos portes se déverrouillent à distance grâce à votre téléphone cellulaire ou même que votre balance transmet votre poids à votre ordinateur grâce au wi-fi, prenez garde. Dans notre monde branché, tout ce qui est connecté à Internet peut être détourné à des fins de cybercriminalité.

C'est le message que l'expert en sécurité Benoit Gagnon a livré aux policiers réunis au 4e colloque FRANCOPOL sur la cybercriminalité - Escroquerie sur Internet et radicalisation à l'École nationale de police du Québec à Nicolet mercredi.

Plus de 120 professionnels issus d'organisations policières, de ministères, d'organismes gouvernementaux et d'institutions financières ont pris part à l'événement organisé conjointement par la Sûreté du Québec, l'École nationale de police du Québec, la Gendarmerie royale du Canada, le Service de police de la Ville de Montréal et le Service de police de la Ville de Québec.

Selon le capitaine Frédérick Gaudreau, responsable du Centre stratégique en cybercriminalité de la Sûreté du Québec, les policiers ont tout avantage à parler le langage du Web. Il pense qu'il faut joindre les citoyens là où ils sont et ainsi mieux combattre les fraudes bancaires ou l'hameçonnage par courriel, par exemple.

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