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Le président sud-africain Jacob Zuma, hospitalisé, va "très bien", selon une de ses épouses

Le président sud-africain Jacob Zuma, hospitalisé, va "très bien", selon une de ses épouses

Le président sud-africain Jacob Zuma, 72 ans, qui devait quitter dimanche l'hôpital où il avait été admis la veille pour des examens à la suite d'une grande fatigue, va "très bien", selon une de ses épouses.

Le président Zuma "va très bien", il "avait seulement besoin de temps pour se reposer", a déclaré, sans autre détail, Bongi Ngema-Zuma, citée par l'agence SAPA.

Plus tôt dans la journée, Gwede Mantashe, secrétaire général du Congrès national africain (ANC, parti au pouvoir), avait évoqué la sortie, dimanche soir du président de l'hôpital.

"Selon nos informations, il devait sortir (de l'hôpital) hier soir ou dans la journée d'aujourd'hui" (dimanche), a indiqué à la presse M. Mantashe.

"Nous l'attendons donc aujourd'hui", avait-il ajouté, expliquant que vendredi, les responsables du parti avaient conseillé à M. Zuma, 72 ans, de prendre du repos parce que "le programme électoral dense" du scrutin du mois dernier "avait laissé des traces, non seulement sur lui, mais sur beaucoup d'entre nous".

Le bureau de la présidence avait annoncé samedi que le président était exténue après la période électorale et était hospitalisé "pour subir des examens" .

La président avait ajouté que "les médecins étaient satisfaits de son état".

M. Mantashe a indiqué ne pas avoir le détail des tests effectués. Un journal du dimanche, City Press, a cité un responsable de l'ANC disant que le président s'était plaint vendredi d'une "douleur au cou".

Les services de la présidence avaient ajouté vendredi que M. Zuma "allait se mettre en congé de ses engagements publics pendant quelques jours ".

"Nous nous attendons à ce qu'il se repose davantage", a ajouté M. Mantashe.

La prochaine sortie publique de M. Zuma est attendue le 19 juin pour son discours au Parlement sur l'état de la nation.

Le président Zuma a été investi le 24 mai pour un second mandat à la tête du pays, après la victoire de son parti, le Congrès national africain (ANC) aux élections du 7 mai avec 62% des voix.

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