On dit souvent que les jeunes ne s'intéressent pas à la politique. Or, rien ne semble moins vrai à l'heure du midi à la cafétéria de l'École des hautes études commerciales de Montréal, où les universitaires réfléchissent à la beauté du Québec, la dette, les affaires et les impôts.
Bref, ils s'intéressent à la politique, car ils s'intéressent à leur avenir.