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Petitclerc en cire

Petitclerc en cire

Chantal Petitclerc a rencontré Chantal Petitclerc, jeudi, au Musée Grévin, à Montréal. L'ancienne athlète paralympique, spécialisée en athlétisme, a découvert sa statue de cire à côté de celles de légendes du hockey, du golf et de Formule 1.

« Ça fait drôle de me voir en trois dimensions comme cela et de voir que la statue est aussi ressemblante. En même temps, ça me rappelle tellement de beaux moments », a déclaré Petitclerc quand elle a vu sa reproduction.

Elle a aussi été touchée de revoir le fauteuil de compétition avec lequel elle a remporté ses derniers Jeux, à Pékin. Un don qu'elle a fait au Musée Grévin pour agrémenter sa statue.

« En plus d'être un grand honneur pour moi de voir ma statue ici, je suis contente, car elle va permettre aux jeunes de découvrir le sport paralympique. Ils vont pouvoir voir à quoi ressemble un fauteuil de compétition et comment on est placé dedans », a-t-elle dit.

Bien qu'elle ait pris sa retraite de la compétition, elle n'a pas quitté le milieu du sport pour autant. Elle sera chef de mission pour l'équipe du Canada aux Jeux du Commonwealth l'été prochain.

Fière des Canadiens

Petitclerc suit aussi les Jeux d'hiver qui se déroulent actuellement à Sotchi. Selon elle, le Canada est encore en bonne position et a toujours des chances de se retrouver parmi les trois meilleurs pays au classement des médailles.

Elle a souligné la performance de Brian McKeever, qui a remporté deux médailles d'or en trois jours en ski de fond, chez les malvoyants.

« Je l'admire beaucoup, je sais qu'il veut vraiment atteindre sa dixième médaille d'or et il deviendrait le premier Canadien avec autant de médailles d'or aux Jeux paralympiques d'hiver, comme je l'ai été aux Jeux d'été », a dit Petitclerc.

Domination russe

Selon Petitclerc, la domination de la Russie au tableau des médailles est un phénomène assez fréquent aux Jeux paralympiques d'hiver.

« Les Jeux paralympiques d'hiver, ça reste très jeune comme mouvement et en quatre ans, c'est tellement difficile de savoir quels pays vont investir et vont former des athlètes paralympiques justement comme la Russie l'a fait », a expliqué l'athlète. « Il y a des pays qui ne sont pas là une année et qui reviennent quatre ans plus tard, très dominants. »

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