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Campagne pour la libération des journalistes d'Al Jazeera en Égypte

Campagne pour la libération des journalistes d'Al Jazeera en Égypte

Des représentants des médias canadiens accusent Ottawa de ne pas en faire suffisamment pour que soit libéré le journaliste canadien Mohammed Fahmy, emprisonné en Égypte depuis plusieurs semaines.

L'ancien chef de bureau du réseau Al Jazeera au Caire est accusé de terrorisme avec trois de ses collègues.

Alors que la Maison-Blanche a demandé publiquement que soient relâchés les journalistes, l'exemple n'a pas été suivi par Ottawa.

Les employés d'Al Jazeera sont accusés d'avoir participé à des activités terroristes. Ils risquent 15 ans de prison s'ils sont reconnus coupables lors de leur procès, qui se tiendra dans les prochaines semaines.

La campagne « Free AJ Staff » a été lancée sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter (mot-clic : #FreeAJStaff). Des représentants des médias de partout dans le monde se prennent en photo pour demander la libération des quatre hommes.

L'histoire n'est pas sans rappeler celle du médecin Tarek Loubani et du documentariste John Greyson, emprisonnés en Égypte pendant deux mois. Les deux Canadiens avaient aussi été accusés de terrorisme.

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