Si le fait de ne pas avoir de médecin de famille est frustrant lorsque l'on est en santé, il devient dangereux pour ceux qui souffrent de maladies graves. Une Québécoise de 25 ans atteinte d'un trouble alimentaire sévère et sa mère se battent depuis des semaines pour avoir l'avis d'un médecin.
L'attente est longue pour avoir accès à des soins de santé spécialisés, même après trois hospitalisations et plusieurs visites dans des cliniques et CLSC.
Dans le cadre de la semaine de sensibilisation aux troubles alimentaires, Anne-Louise Despatie a rencontré deux femmes pour qui chaque kilo compte.