Valérie Trierweiler, l'ancienne compagne de François Hollande, a confessé à l'hebdomadaire Paris Match publié jeudi avoir eu l'impression de "tomber d'un gratte-ciel" à la révélation d'une liaison du chef de l'Etat français avec l'actrice Julie Gayet.
"Lorsque j'ai su, c'est comme si j'étais tombée d'un gratte-ciel", a déclaré Mme Trierweiler, 48 ans, au sujet de la liaison du président français avec Julie Gayet, révélée le 10 janvier par l'hebdomadaire Closer.
"J'entendais des rumeurs évidemment, mais on en entendait sur tout le monde. J'en entends sur moi aussi, tout le temps. Je n'y prêtais pas attention", a-t-elle expliqué.
"Cela peut paraître étrange mais pour moi, je ne traverse pas une période de crise", a assuré Mme Trierweiler à Paris Match, son employeur. "Ce n'est pas la première rupture dans ma vie. Elle est violente car elle est médiatique", a-t-elle souligné.
La politique est "un monde où la trahison est payante, et ce ne sont pas mes valeurs", a ajouté l'ex-compagne de François Hollande qui "ne regrette rien".
"Je me suis retrouvée à l'Elysée sous les dorures. Les gens le savent peu mais ma mère était caissière et mon père, amputé d'une jambe. J'ai grandi dans une HLM. Il y a eu un énorme décalage. Je me suis rendu compte, ces derniers mois, à quel point j'avais été chanceuse", confesse-t-elle.
"Ce que j'ai vécu a été une séquence de vie extraordinaire qui m'a amenée à autre chose", a-t-elle dit, ajoutant: "Je vais reprendre ma vie d'avant, mais elle sera enrichie d'une expérience nouvelle. En l'espace de quelques jours, j'ai reçu des centaines de lettres et de messages de soutien".
François Hollande a annoncé samedi "la fin de sa vie commune avec Valérie Trierweiler".
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