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Les services frontaliers peu loquaces sur la mort en détention d'une femme

Les services frontaliers peu loquaces sur la mort en détention d'une femme

L'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) donne peu de détails sur la mort en détention d'une femme de 42 ans, le mois dernier.

L'ASFC confirme qu'une femme détenue pour une courte durée a été transférée dans un centre de détention de l'immigration le 19 décembre dernier, à l'aéroport international de Vancouver.

Le lendemain matin, des premiers répondants sont intervenus au centre après avoir appris que la quarantenaire était en détresse. Elle a été hospitalisée et est morte huit jours plus tard.

La femme n'est pas citoyenne canadienne, mais l'ASFC n'indique pas qui elle est ni pourquoi elle était détenue. L'Agence n'a pas dit non plus si la femme souffrait d'un problème de santé sous-jacent.

L'ASFC affirme qu'elle collabore avec la Gendarmerie royale du Canada à Richmond. Le bureau du coroner provincial regarde aussi l'affaire et ajoute que puisqu'il s'agit d'une mort en détention, il mènera une enquête approfondie.

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