Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Les médias sont partis, soulagement à l'hôpital

Les médias sont partis, soulagement à l'hôpital

Les journalistes qui faisaient le pied de grue à l'hôpital de Grenoble, depuis l'accident du pilote allemand le 29 décembre, sont partis.

C'est ce que confirme le CHU grenoblois. Les camions de transmission ont quitté les lieux 17 jours après l'accident, au grand soulagement du personnel de l'établissement.

« C'est un grand soulagement partagé par les collègues, a témoigné une infirmière à 20minutes.fr. Entre les journalistes qui nous arrêtaient pour avoir des infos, et d'autres qui nous offraient de l'argent, c'était difficile de travailler correctement. On peut enfin respirer. »

L'Agence France-Presse dit n'avoir plus aucun dispositif sur place.

« On a arrêté le jour de la conférence de presse d'Albertville (du procureur de la République), a expliqué un journaliste de l'agence de Grenoble. Depuis, on essaie de se maintenir informé, et on reste en contact avec le service des communications du CHU et l'attachée de presse de Schumacher. »

L'attachée Sabine Kehm a répondu par texto à l'AFP, lundi, pour dire qu'elle ne savait pas « quand le service allait communiquer de nouvelles informations ».

Aucune nouvelle n'a donc filtré depuis le lundi 6 janvier. Ce jour-là, Michael Schumacher se trouvait, selon son entourage et ses médecins, dans un état critique, mais stable.

Le journal allemand Bild précise que les médecins poursuivent leurs examens afin de savoir quelles zones du cerveau restent fonctionnelles ou quelles zones sont endommagées.

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.