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Le Québec ne peut se passer des PPP, selon l'Institut pour le PPP

Le Québec ne peut se passer des PPP, selon l'Institut pour le PPP

Le gouvernement québécois ne devrait pas faire une croix sur les partenariats public-privé (PPP) alors que sa situation financière est aussi fragile, selon l'Institut pour le partenariat public-privé (IPPP).

Le directeur général de l'organisation, Roger Légaré, a tenu à réagir jeudi aux propos tenus la semaine dernière par le ministre de la Santé, Réjean Hébert. En marge de l'inauguration du tout nouveau Centre de recherche du CHUM (CRCHUM), un projet réalisé en PPP, le ministre Hébert avait fait valoir qu'il était hors de question pour le gouvernement péquiste de donner le feu vert à d'autres projets en suivant ce modèle d'affaires.

Selon M. Légaré, les contrats en PPP « offrent des garanties de transparence et de performance » qui sont conformes aux attentes du gouvernement.

L'IPPP recevait jeudi une délégation de gens d'affaires du Québec, du Canada et de la France afin de discuter des avantages et des inconvénients de ce type de partenariat.

L'une des grandes défenderesses des PPP, l'ancienne ministre des Finances et présidente du Conseil du Trésor Monique Jérôme-Forget, doit prendre la parole jeudi soir au CRCHUM, un projet réalisé en PPP livré dans les délais prévus.

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