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Critique théâtre : Les aiguilles et l'opium

Critique théâtre : Les aiguilles et l'opium

Dans sa mise en scène revisitée, la pièce de Robert Lepage Les aiguilles et l'opium fait appel à un dispositif scénique époustouflant, qui fait usage des plus récentes technologies.

Interprété pour la première fois en solo par Robert Lepage il y a une vingtaine d'années, la pièce Les aiguilles et l'opium est construite sur une coïncidence historique entre Jean Cocteau, Miles Davis et un troisième personnage, Robert, qui vivent une peine d'amour et une dépendance importante.

La pièce reprise au Trident met en scène Marc Labrèche dans le rôle de Robert et de Jean Cocteau, de même que l'acrobate Wellesley Robertson.

L'histoire se déroule dans une scène de forme cubique à un côté ouvert. Tout se passe dans cette structure qui peut pivoter sur elle-même.

Le génie de Robert Lepage qui réside notamment dans sa capacité d'imaginer et de créer des effets surprenants sur scène est une fois de plus mis en évidence.

Les comédiens livrent avec finesse cette pièce chorégraphiée dans le dispositif scénique certainement exigeant.

Les aiguilles et l'opium est à l'affiche au Théâtre du Trident jusqu'au 12 octobre. Des supplémentaires sont prévues les 16, 17 et 18 octobre.

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