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Coffre-fort virtuel : « de la poudre aux yeux », dit David Lemelin

Coffre-fort virtuel : « de la poudre aux yeux », dit David Lemelin

Le chef du parti d'opposition Démocratie Québec, David Lemelin, soutient que le coffre-fort virtuel de la Ville se dirige vers un échec.

Lancé en mai, le projet-pilote de la firme Almerys, une filiale du géant français Orange, permet notamment aux abonnés de payer leurs contraventions ou de demander un permis à partir d'un ordinateur ou d'un téléphone intelligent.

Jusqu'à maintenant, 900 personnes se sont inscrites. Le maire Labeaume vise à recruter plus de 30 000 citoyens d'ici trois ans.

David Lemelin reproche aussi au maire d'en avoir remis une couche cette semaine avec l'annonce d'un investissement de plusieurs millions projeté par Almerys.

« Pour nous, ç'a été une annonce assez disgracieuse, grossière et indécente, parce que c'est vraiment 100 % électoral. C'est une tactique de communication pour faire semblant que le coffre-fort fonctionne bien et va aller de l'avant. Pour nous, c'est un coffre-fort pas fort, et de plus en plus virtuel et il le restera. Il ne verra pas le jour. C'est de la poudre aux yeux », a-t-il affirmé.

L'entreprise française Almerys veut investir 34,5 millions de dollars pour construire un « bunker » de données numériques à Québec, un immeuble hautement sécurisé qui logera les serveurs de données privées destinés à sa clientèle.

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