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Venise n'en a pas que pour les stars américaines

Venise n'en a pas que pour les stars américaines

Scarlett Johansson était la vedette du jour à Venise pour la première d'Under the skin, présenté en compétition officielle. Le compte-rendu de la journée de Tanya Lapointe.

Bien que ce soient les stars hollywoodiennes qui suscitent le plus d'engouement auprès de la presse et du public, la Mostra souhaite encourager de nouvelles manières de faire du cinéma.

C'est le cas du Collège de la Biennale, un volet où trois cinéastes reçoivent un budget de 150 000 pour réaliser un film.

Téléfilm Canada s'intéresse à ce volet du festival, puisque l'institution a créé une initiative semblable au pays.

« On veut voir s'il n'y a pas moyen d'avoir une collaboration pour s'assurer que les films canadiens à petits budgets soient présentés à Venise et qu'au Canada, on présente leurs films », explique Carolle Brabant, de Téléfilm Canada.

Le Québec a ses entrées au Venice days

Le cinéma québécois a déjà ses adeptes à la Mostra de Venise. Le volet Venice days, qui existe depuis 10 ans, a ouvert ses portes au cinéma d'ici.

Sylvain Auzou, directeur de Venice days, ne tarit pas d'éloges pour le cinéma québécois. Au fil des ans, Incendies et Café de Flore ont été présentés dans le volet Venice Days, mais c'est C.R.A.Z.Y., de Jean-Marc Vallée, qui a tout fait basculer.

« Ça été l'événement, et ça nous a aidés à nous faire connaître Venice Days. Nous avons aidé C.R.A.Z.Y. à se lancer au niveau international et l'histoire a commencé comme ça », explique-t-il.

Cette année, deux films canadiens sont présentés au Venice Days, Gérontophilia et Siddhart.

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