Et si les jeunes qui couchent le plus souvent à droite et à gauche étaient les plus malheureux ? D'après des chercheurs américains, les étudiants qui ont des rapports sexuels libres, c'est-à-dire sans s'engager avec leur partenaire, souffriraient plus que les autres de dépression et d'anxiété.
C'est en tout cas ce que révèle cette étude qui montre des conclusions identiques chez l'homme et la femme. En effet, si les premiers sont plus nombreux (19,6%) à déclarer avoir des relations sexuelles sans attaches, les secondes (7,4%) sont également susceptibles d'être psychologiquement fragilisées. "Les résultats suggèrent que, parmi ces étudiants, la liberté sexuelle était associée à un bouleversement psychologique et non au bien-être", explique Melina Bersina, qui a dirigé cette étude.
Dans le cadre de cette enquête, des experts ont demandé à 3900 étudiants américains, âgés de 18 à 25 ans de répondre au sujet de leur bien-être mental ainsi que de leur vie sentimentale et sexuelle. Toutefois, pour Melina Bersina: "Il est encore trop tôt pour conclure que ce comportement sexuel a forcément une incidence psychologique nuisible et qu’il comporte des risques pour les jeunes gens".
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