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D'où viendra le nouvel entraîneur?

D'où viendra le nouvel entraîneur?

La quête d'un nouvel entraîneur-chef pour l'équipe nationale masculine du Canada s'avère plus compliquée que prévu à un mois du tournoi de la Gold Cup.

Mardi, à Edmonton, la sélection canadienne aura encore un intérimaire sur la ligne de touche pour le match amical face au Costa Rica.

Ce sera le cinquième match de suite qu'il en sera ainsi. Depuis le cuisant revers de 8-1 devant le Honduras qui a mis un terme aux espoirs du Canada de se qualifier pour la Coupe du monde 2014, Stephen Hart n'a pas été remplacé.

Le président de Soccer Canada, Victor Montagliani, ne semble pas s'en inquiéter. « Nous espérions régler cette question aux environs de la Gold Cup, mais nous n'en faisions pas une obligation », a dit Montagliani.

Pour lui, il n'y a pas de date butoir. Il estime que l'on entrera bientôt dans une période où il aura une multitude de bons entraîneurs disponibles.

« Nous avons eu des contacts avec des fédérations sur tous les continents, tant en personne qu'au téléphone. Je reçois plusieurs appels par semaine de la part d'agents qui me disent que leur client souhaite diriger l'équipe du Canada. »

Montagliani estime que plus le processus de sélection sera long, plus grand sera le choix de candidats. Il croit que 150 entraîneurs de haut niveau pourraient être à la recherche d'un emploi d'ici octobre.

Le candidat idéal décrit par Montagliani possède une vaste expérience sur la scène internationale à la tête d'une équipe nationale.

Il devra aussi être à l'aise dans un environnement similaire à celui auquel est confronté le Canada quand il se rend au Honduras, au Costa Rica ou au Mexique pour y disputer des matchs.

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