Journaliste américaine passée à la production audiovisuelle chez Castlefranco Films, basée à Londres, Cindy Pace DePasquale s'arrête au Festival de Cannes pour la sixième fois.
Qu'êtes-vous venue faire à Cannes cette année ?
Je suis venue à la recherche de financements pour un film indépendant que je souhaite concrétiser. Nous multiplions les rencontres de coproductions en cherchant des opportunités pour réseauter auprès des financiers.
Qu'attendez-vous de cette édition ?
Je n'en sais vraiment rien. Je n'attends jamais rien quand je viens [au Festival de Cannes]. Les choses se produisent d'elles-mêmes. Chaque édition est différente. Il faut simplement faire avec. Vous venez juste avec l'espoir du meilleur. Et que la météo reste correcte (rires). On se tient à notre objectif : multiplier les rencontres avec les producteurs pour financer notre film.
Quel est votre meilleur souvenir du festival ?
Je pense à l'année où j'ai rencontré Dustin Hoffman que j'avais déjà interviewé [à l'époque où j'étais journaliste]. Je suis allé à sa rencontre dans la rue. Il s'est souvenu de moi et m'a donné ses coordonnées en me disant de le rappeler une fois à Londres (rires). Les gens sont très accessibles à Cannes, davantage que dans d'autres festivals.
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