Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Entente de principe entre les enseignants et la province

Entente de principe entre les enseignants et la province

Après des mois de négociations, le gouvernement albertain et l'Association des enseignants de la province (ATA) sont parvenus à une entente de principe de quatre ans.

Dans une conférence de presse vendredi matin à Calgary, la première ministre albertaine, Alison Redford, et le ministre de l'Éducation, Jeff Johnson, ont indiqué que l'entente proposée assurerait une meilleure stabilité pour les enseignants et les élèves. Ils ont ajouté que l'ATA avait recommandé ce contrat de travail à ses membres.

Le contrat stipule que les enseignants auront un gel de salaire de trois ans, suivi d'une hausse de 2 % lors de la quatrième année, soit le maximum que le gouvernement provincial avait affirmé être prêt à accepter.

Le gouvernement provincial a aussi affirmé qu'il évaluerait la charge de travail des enseignants, un des points en litige. Entre autres, un nombre d'heures de travail maximal est proposé.

Les quelque 35 000 enseignants et les 62 conseils scolaires analyseront la proposition et voteront dans les prochains jours.

Négociations difficiles

En février, l'ATA avait refusé, à l'unanimité, la dernière offre du gouvernement qu'elle avait qualifiée d'inacceptable.

Mardi, le ministre de l'Éducation avait affirmé qu'un contrat pourrait être imposé aux enseignants, si la mésentente perdurait.

Les enseignants de la province sont sans contrat de travail depuis le mois d'août.

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.