Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Les Russes s'occupent de la glace

Les Russes s'occupent de la glace

Après les critiques sévères des athlètes sur l'état de la glace du centre de glisse Sanki, le comité d'organisation des Jeux de 2014 a demandé aux préposés de travailler toute la nuit pour la préparer.

Le président du comité d'organisation Dmitri Chernyshenko a envoyé mercredi des photos via Twitter pour confirmer la nouvelle.

Le président de la Fédéreation internationale de bobsleigh et skeleton (FIBT), Ivo Ferriani, a inspecté la piste mardi après les commentaires acerbes des équipes nationales étrangères, notamment canadiennes, britanniques et américaines.

« C'est tellement bosselé. La glace n'est pas prête. Elle est affreuse », a dit l'Américaine Noelle Pikus-Pace, spécialiste de skeleton, à l'agence Associated Press.

Des critiques qui ont trouvé écho dans le journal russe The Moscow Times, mercredi.

Des athlètes de 25 pays ont été invités à Sotchi pour 10 jours d'entraînement préolympique (avec un maximum de 40 descentes par athlète) et de préparation à la dernière épreuve de Coupe du monde de la saison.

Les premiers jours ont été marqués par le mauvais état de la piste du centre de glisse de Sanki. Vendredi dernier, il a fallu interrompre les descentes après que les lugeurs eurent constaté que la glace était trop mince et qu'il y avait des trous laissant paraître le béton. Des athlètes suisses et lettons ont endommagé les lames de leur luge (qui coûtent 1000 $ chacune).

Mardi, les critiques des athlètes ont été les plus vives, constatant que les préposés ne savaient pas quoi faire pour améliorer l'état de la piste, ce qui rendait les descentes périlleuses en raison des bosses.

Il est prévu ce weekend la 9e et dernière épreuve de Coupe du monde de bobsleigh et de skeleton de la saison.

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.