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La violence, une plaie

La violence, une plaie

La Russie admet avoir un problème de violence lié au soccer, mais compte trouver des mesures pour assurer la sécurité de tous lors du Mondial de 2018.

C'est le président du comité organisateur du rendez-vous planétaire qui en a parlé lors d'une conférence sur le sport, organisée à Dubaï. Alexey Sorokin se dit très déçu que la Russie soit encore associée à la violence dans le soccer.

« Je n'ai aucun doute que nous pourrons augmenter les mesures de sécurité pour que tous se sentent en sécurité dans les rues et dans les stades », a dit l'officiel russe.

« Nous comptons prendre des mesures sévères pour enrayer le problème dans l'avenir, et rien ne nous empêchera d'y arriver, a-t-il averti. Il est très décevant que le soccer russe soit marqué par la violence. »

Monsieur Sorokin a profité de l'occasion pour rappeler que la Russie avait obtenu « à la régulière » l'organisation de la Coupe du monde de 2018.

« Nous avons joué franc-jeu, et n'avons eu aucun indice de mauvais jeux de coulisse dans notre entourage, a-t-il affirmé. On a beaucoup parlé du Qatar, à tort. S'il y avait eu la moindre fausse note, des preuves auraient déjà fait surface. Que ceux qui ont des preuves les présentent. Sinon, qu'on arrête d'en parler », a-t-il lancé.

« C'est stupide qu'un comité de candidature puisse offrir de l'argent à quiconque, a dit M. Sorokin. Seule une personne qui ne connaît rien au processus peut faire ce genre de suggestion. Le fait est qu'on a une peur bleue de briser les règles d'éthique de la FIFA, de dire quelque chose de travers dans les médias. Alors, offrir de l'argent, ce serait du suicide. »

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