À l'occasion du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, l'émission L'heure de pointe invite cinq auteurs à participer à la rédaction d'un conte à relais.
Les auteurs participants sont Yvon Paré, Isabelle Larouche, Renée Robitaille, Michel Noël et Éric Gauthier. Chaque auteur a 24 heures pour composer un texte d'environ 1000 mots qui doit donner suite au texte précédent, avec l'obligation d'employer un mot choisi par le linguiste Guy Bertrand.
Les auditeurs sont invités à découvrir Le conte à relais du 24 au 28 septembre, entre 15 h et 17 h, à la Première Chaîne de Radio-Canada au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Première partie | YVON PARÉ
AUDIO - Pour commencer la chaîne d'écriture, Yvon Paré a dû s'inspirer de la phrase « Ti-Tur la peinture avait chef-d'oeuvré toute sa vie » et utiliser le mot obligatoire « refourguer », qui signifie « vendre à quelqu'un en l'abusant ».
Deuxième partie | ISABELLE LAROUCHE
AUDIO - La chaîne d'écriture se continue avec Isabelle Larouche. Pour sa partie du conte, elle devait utiliser le mot « ouiller », qui signifie « remplir un tonneau à mesure que le niveau baisse ». Tshakapesh, Obedjiwan et Amish poursuivent leur quête.
Troisième partie | RENÉE ROBITAILLE
AUDIO - Pour la troisième partie des aventures de Ti-Tur la peinture, l'auteure Renée avait l'obligation d'utiliser le mot « chauffe-la-couche », qui signifie « homme qui se laisse mener par les femmes ».
Quatrième partie | MICHEL NOËL
AUDIO - La rédaction de la quatrième partie de la chaîne d'écriture a été confiée à l'auteur Michel Noël, qui devait inclure le mot « bésicles », qui signifie « anciennes grosses lunettes », dans le conte.
Cinquième partie | ÉRIC GAUTHIER
AUDIO - Éric Gauthier conclut les aventures de Ti-Tur la peinture. Il devait inclure le mot « pétaudière », qui signifie « groupe indiscipliné où règne le désordre ».