Les anglophones réfèrent souvent aux mots de quatre lettres comme étant des mots peu élégants à utiliser dans une conversation. Ils font alors allusion à « shit » ou pire, pour les plus hautains, à « snow ». Cependant, leur vocabulaire est truffé de mots de même longueur. Pensons à la « star » qui déploie tous les efforts pour atteindre la « fame » comme si cette recherche était un « need » que quelques-uns croiront obtenir en fumant de la « seed ».
Est-ce que le français diffère? Oui, en ce « sens » que nous ne levons pas le nez sur les mots de quatre lettres qui pullulent dans notre dictionnaire et que nous utilisons « sans » retenue.
Que « ceci » ait un « goût » de « miel » au risque que ce « moût » se transforme en « fiel », à n'importe quel « coût », certains le consommeront pour se sentir comme au « ciel ». « Tout » homme peut ainsi aller au « bout » de son « sang » croyant ainsi combler ses attentes.
La femme ne fait pas mieux lorsque la « dame » coupe la « came » avec la « lame » et qu'ensuite elle utilise la « rame » pour fuir avec le « mâle » qui pousse un dernier « râle » n'ayant pas pu se sortir de ce « sale » pétrin. La « tête » de linotte croyait avoir payé sa « dote » en participant à la « fête » et avoir obtenu la « cote », mais elle devra un jour payer la « note » à son « pote » pour obtenir son « vote », le moment venu d'estimer si son « sein » compensera pour son « rein » qu'elle souhaiterait cacher derrière un miroir sans « tain ».
« Même » la femme de « joie » vêtue de « soie » peut provoquer une crise de « foie » lorsqu'elle entraîne sous son « toit » un « môme » plusieurs « fois ». Alors dans le « bain » jusqu'au cou, il ne faut pas prendre le « mors » aux dents et tout rejeter du revers de la « main », elle pourrait faire un « gain », ne pas avoir travaillé en « vain » et gagner son « pain ». Le mauvais « sort » et la « mort » frappent plus rapidement les « gras » que ceux qui tiennent un projet à bout de « bras ».
Pour régler hors « cour » ou passer son « tour », il faut avoir payé sa « dime » ou être capable d'utiliser la « rime » et l'avoir aiguisée avec sa « lime ». De cette façon, on rejoindra la « cime » du « site » inatteignable pour la « mite », cette bestiole « dite » avide du confort de la « taie » d'oreiller ou de la toile du « dais » provoquant de l'ombre sur la « raie » de la coiffure du « laid ».
Pas suffisant de rêver, d'être dans la « lune » en regardant un « film » ou de se cacher derrière une « dune » en jouant au « golf ». Un « jour », il faudra traverser le « pont » pas seulement en effectuant un « bond ». Il faudra cesser de tourner en « rond » et comme le « thon », aller au « fond » de l'abîme « dont » on veut « tant » s'éloigner.
Assez de « gêne », comme le « loup » affamé, il faut donner un « coup » de gueule, saisir sa proie et dévorer ses envies. Et pour mettre de la couleur dans ce texte, il ne fallait pas avoir une « peur » bleue des mots qui peuvent parfois nous empêcher de voir la vie en « rose » ou nous rendre rouges de colère même si nous avions au préalable le teint « gris » parce que nous ne nous sentions pas « bien », ce qui est en « lien » avec l'expression voulant que l'on soit « vert » comme les hôpitaux. Êtes-vous malade?
Merci de « lire » ce que j'avais à « dire » sur ce sujet. J'espère que je vous aurai fait « rire » ou sourire plutôt que d'être dans la « mire » de votre tir.
En conclusion, « gens » du « pays », il vaut mieux être « star » d'un « soir » que « tsar » d'un marché « noir ». La « paie » sera « plus » valorisante.
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