Lulu Hughes était de passage à Deux filles le matin, ce lundi 25 novembre, et la chanteuse a donné des nouvelles encourageantes en ce qui a trait à son état de santé.
«Ça va super bien», a d’abord lancé la principale intéressée, dont les cheveux repoussent lentement, mais sûrement, après qu’elle ait dû passer à travers une autre série de traitements de chimiothérapie.
Lulu Hughes a par la suite expliqué pourquoi elle était demeurée plutôt vague lorsqu’elle avait révélé, en juin dernier, être aux prises avec de nouveaux ennuis de santé.
«Quand j’ai annoncé que je devais repasser par des traitements, j’ai été très discrète sur mon diagnostic pour plusieurs raisons. J’ai voulu protéger ma fille, beaucoup, parce que j’ai eu mon diagnostic à la fin mai. Elle devait terminer l’école, et je me disais: “Elle a ses examens qui s’en viennent, je veux éviter ça.” En fait, je n’ai pas menti, mais je n’ai pas dit toute la vérité», a-t-elle expliqué.
«Je suis allée très globalement. Oui, je dois repasser par là par prévention, ce qui était vrai, mais ce n’est pas une récidive que j’ai eu, c’est un autre cancer, un cancer de l’utérus.»
Un diagnostic auquel la chanteuse ne s’attendait aucunement, elle qui a appris la mauvaise nouvelle alors qu’elle faisait un suivi postopératoire à la suite d’une hystérectomie, après avoir vu, justement, des signes avant-coureurs de cancer de l’utérus.
«Ils ont fait une pathologie pour se rendre compte que c’était une bonne tumeur qui s’attaque aux muscles, ce qui est assez rare. Ce ne sont pas des tumeurs très communes, et il y a de fortes chances de récidive, donc ils ont tout enlevé», a-t-elle confié.
Après le choc initial, Lulu Hughes a rapidement repris le dessus en décidant d’attaquer le problème de front en demeurant positive.
«Plus vite je vais commencer, plus vite ça va être fini. Je continue mes shows, j’ai vraiment décidé de poursuivre ma vie normalement. J’ai dit à tout le monde autour de moi, à ma famille: “S’il vous plaît, la vie continue, je veux avoir du fun, ça ne me tente pas de brailler tout l’été.”»
«Si tu t’écrases, tu t’écrases et là tu meurs. Donc je me suis dit: “Je suis encore vivante, je ne suis pas morte et je vais tout faire pour le rester. La seule chose que tu peux contrôler, c’est toi, ta tête, tes émotions.” [...] C’est la seule affaire que je peux contrôler? Eh bien je vais le prendre le contrôle», a-t-elle conclu.
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