Pandémie, mesures sanitaires, féminisme, environnement: tout y passe dans ces mèmes conçus par des jeunes du secondaire.
Les élèves des écoles du Québec et de la francophonie canadienne étaient en effet appelé à rivaliser de créativité en créant des mèmes de leur cru - et tout à fait au goût du jour -, dans le cade du volet scolaire des 24es Journées de la culture.
La troisième édition de l’activité «J’aime les mots», marrainée par l’autrice et humoriste Manal Drissi, a été lancée le 25 septembre et se terminait vendredi dernier.
Cette activité ludique permettait aux jeunes de s’initier à différents modes de discours et d’«utiliser le mème – phénomène viral alliant les mots et les images – pour communiquer autrement», peut-on lire sur le site des Journées de la culture.
Une nouveauté cette année, les créations produites par les élèves ont été réalisées à partir des banques d’images libres de droit de Bibliothèque et Archives nationales du Québec/Grande Bibliothèque, du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) et du Musée de la civilisation.
Les élèves semblent manier le langage imagé du mème avec aisance, eux qui baignent constamment dans cette culture numérique. Avec beaucoup d’humour, ils expriment leurs préoccupations, leurs opinions et font part de leur quotidien qui a été chamboulé par l’arrivée de la COVID-19.
Voyez un assortiment de ces mèmes cocasses ci-dessous:
Pour voir l’entièreté des mèmes, rendez-vous sur la page Facebook de l’événement.