L’entrepreneure Caroline Néron, qui a dû fermer toutes ses boutiques de bijoux l’an dernier, a réagi depuis le Mexique aux difficultés financières de Louis Garneau, affirmant sur les réseaux sociaux qu’elle trouvait cette nouvelle «très triste».
Elle décrit l’entrepreneur, qu’elle a déjà rencontré, comme un «homme d’affaire aguerri».
Mardi, le manufacturier d’équipements de sport Louis Garneau a confirmé que son entreprise se plaçait sous la protection de la Loi sur les faillites et l’insolvabilité, le temps de se restructurer.
Caroline Néron, qui est présentement en voyage avec sa fille, a écrit qu’elle était allée pleurer dans sa chambre en apprenant la nouvelle.
«Le retail va mal, pour tout le monde... mais dans mon cas, on m’a traitée comme une voleuse, une niaiseuse, une conne comme dirait mon dernier propriétaire de bureaux parce que j’ai fait faillite...
Être une femme en affaire est encore définitivement un défi supérieur à cause de tous ces préjugés...»
Celle qui renoue ces temps-ci avec ses talents de comédienne (on la verra bientôt dans La déesse des mouches à feu, un long métrage réalisé par Anaïs Barbeau-Lavalette, basé sur le roman de Geneviève Pettersen) a confirmé qu’elle travaillait présentement avec une auteure à l’écriture d’un livre sur son histoire.
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