Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021.

Caroline Néron souligne la fermeture de ses boutiques

«J’ai ouvert ma première boutique à Place Ste-Foy. Aujourd’hui, neuf ans plus tard, je la ferme...»
Instagram/caroline_neron

Caroline Néron a partagé une photo lourde de sens, ce mardi 1er octobre, par l’entremise de son compte Instagram, sur laquelle elle apparaît assise sur l’un des présentoirs de sa boutique de la Place Ste-Foy, le jour de sa fermeture.

«En avril 2010, j’ai ouvert ma première boutique à Place Ste-Foy. Aujourd’hui, neuf ans plus tard, je la ferme. Je n’ai pas eu la chance de fermer toutes les boutiques personnellement, mais je tiens à remercier tous les employés sincèrement du fond de mon coeur d’être restés avec nous toutes ces années. Je vous aime beaucoup», a déclaré la principale intéressée.

Les déboires financiers de la femme d’affaires ont été grandement médiatisés, en plus de connaître plusieurs rebondissements, dont un prêt de dernière minute de 400 000 $ en mars dernier, et une entente de paiement conclue en mai avec ses créanciers.

Malgré tout, nous apprenions au début du mois de septembre que Caroline Néron était sur le point de fermer définitivement boutique, n’arrivant plus à payer les loyers de ses magasins et de son siège social.

Tournant la page sur le monde des affaires (pour l’instant, du moins), Caroline Néron désire à présent donner des conférences pour partager les hauts et les bas de son expérience dans le milieu.

«Mon intention, c’est de faire des conférences pour raconter mon histoire. Parce que j’en ai eu, des leçons de vie, dans les dernières années. Sincèrement, c’est triste de ne pas être accompagnée. En tant qu’entrepreneure, à un moment donné, tu te retrouves très seule», avait-elle confié à La Presse, le mois dernier.

Rappelons que Caroline Néron a aussi renoué avec son métier d’actrice, elle qui, cet été, tournait l’adaptation cinématographique du roman La déesse des mouches à feu de Geneviève Pettersen par la réalisatrice Anaïs Barbeau-Lavalette.

À voir également:

Close
Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support@huffpost.com.