L'affirmation du ministre François Blais est porteuse de l'idée que la jeunesse québécoise ne devrait pas s'intéresser à ces enjeux, et qu'il est impératif de gommer de leur avenir toute graine de contestation.
02/09/2015 10:37 EDT
Ma langue, j'y tiens, certes. Mon pays, je le souhaite du fond du cœur, bien évidemment. Mais je n'ai pas peur de l'avenir, ni des anglophones, ni des immigrants, ni des Arabes. Je ne crains nullement qu'un intégriste vienne forcer ma femme à porter le hijab, que des professeurs islamistes transforment mes enfants en bombes ambulantes ou qu'un contingent iranien débarque pour légaliser la pédophilie.
16/04/2014 12:34 EDT