La femme d'Alec Baldwin, Hilaria, a confié sans filtres craindre une fausse couche alors qu'elle est enceinte de son 5e enfant.
La jeune femme de 35 ans, maman de quatre enfants, a partagé une photo d'elle en lingerie, une main posée sur le bas ventre.
«Je veux vous partager le fait que je suis très probablement sur le point de faire une fausse couche.»
Le but de cette confession poignante est de parler de ce sujet sensible et dont on parle si peu: les fausses couches.
On parle de fausse couche lorsque l'embryon ou le fœtus décède au cours du premier trimestre. Peu de chiffres existent sur le sujet, on estime qu'environ 15% des grossesses déclarées finissent en fausse couche. Une femme sur 100 sujette y serait sujette.
Les fausses couches lors du deuxième trimestre sont beaucoup plus rares.
Lever le voile sur le tabou
Au cours d'un long message, la femme du comédien souhaite avant tout lever le voile sur ce tabou et partager son expérience pour faire évoluer les mentalités. Que les femmes ressentent la possibilité d'en parler plus librement.
«Je pense qu'il est important de montrer la vérité ... De plus, je n'ai aucune honte ni embarras face à cette expérience. Je veux faire partie du mouvement visant à normaliser les fausses couches - et lever le tabou. Il y a tellement de secrets entourant le premier trimestre de grossesse. Cela fonctionne pour certains, mais je trouve personnellement que cela est épuisant. Je suis nauséeuse, fatiguée, mon corps change. Et si je dois prétendre que tout va bien - et bien ce n'est vraiment pas le cas. Je ne veux plus avoir à faire semblant. J'espère que tu comprends.»
Il y a son état, et celui du bébé qui semble préoccupant.
Hilaria Baldwin confie: «l'embryon a un battement de coeur, mais il n'est pas puissant et le bébé ne grandit pas beaucoup. Nous attendons donc - et c'est difficile. Il y a tellement d'incertitude ... et très peu de chances que cette grossesse soit viable.»
Ce message touchant est ponctué de passages au cours desquelles elle explique que le soutien de son médecin ainsi que celui de sa famille sont primordiales. Ces marques d'amour lui permettent de conserver le moral et de garder en mémoire que la vie est belle - même si elle n'en voit pas toujours le sens ces derniers temps.
La fin de cette longue publication se termine sur une requête. Elle demande à ses lecteurs d'être bienveillants vu son état de fragilité.
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