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«Tout le monde en parle»: Pier-Luc Funk revient sur ses difficultés à terminer ses études secondaires

«Un moment donné, je pensais que je n’arriverais pas à finir mon secondaire...»
Karine Dufour via Radio-Canada

Pier-Luc Funk était sur le plateau de Tout le monde en parle, ce dimanche 10 février, pour parler de ses mille et un projets, dont Fragile, la nouvelle série dramatique de Serge Boucher qui sera diffusée l'été prochain sur ICI Tou.tv Extra, et Matthias & Maxime, le nouveau film de Xavier Dolan.

L'artiste qui multiplie les projets à la vitesse grand V en trouvant le moyen de toucher à tous les registres ne chôme pas depuis son premier rôle au cinéma dans la comédie dramatique Un été sans point ni coup sûr de Francis Leclerc.

Guy A. Lepage a d'ailleurs questionné son invité au sujet de ses débuts dans le milieu, alors qu'à l'âge de 14 ans il devait composer avec les folles journées de tournage de la populaire série Tactik tout en poursuivant ses études.

À cette époque, Pier-Luc Funk devait se lever à 5h15 du matin pour tourner de 6h à 18h, puis prendre part à des séances de tutorat de 20h à 22h pour passer son secondaire.

«C'était terrible l'énergie qu'il fallait mettre à ce moment-là, a-t-il confié. On avait deux jobs à temps plein, et on ne pouvait pas choisir l'école.»

Un moment donné, je pensais que je n'arriverais pas à finir mon secondaire.Pier-Luc Funk

«C'est spécial, parce que tu fais ce que tu veux faire dans la vie et, en même temps, on te dit de finir ton secondaire, parce que tu vas en avoir besoin, et c'est vrai. Tu es comme tiraillé entre le métier que tu veux faire, que tu fais déjà, et tes études», a expliqué celui qui se réjouit aujourd'hui d'avoir obtenu son diplôme d'études secondaires.

À côté de Pier-Luc Funk se trouvait une Nathalie Simard ayant, évidemment, connu un parcours similaire, elle qui, à l'âge de 15 ans, tournait l'émission jeunesse Le village de Nathalie.

Elle a expliqué avoir un «secondaire 2 pas terminé»,car il n'y avait pas de tuteur à l'époque sur les plateaux de tournage pour aider les jeunes.

«On tournait quatre jours par semaine, puis on allait à l'école une journée, puis des fois on rentrait en pédagogique pour faire des examens», a poursuivi Pier-Luc Funk.

«Je pense que j'ai trouvé un rythme de vie qui était capable de me brûler. Là, j'ai vraiment été capable», a-t-il blagué en terminant.

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